Il est possible que mes Medoquinas soient un écho, ne serait-ce que paradoxal et peu conscient, de cette impression de silence, d’amuïssement. Mais la parole écrite du poème reste parole vivante dans la conversation qui s’établit entre les paysages, les hommes, les temps d'avant et d'aujourd'hui. Et les temps de demain, sans doute..